Alors quels sports faut-il choisir ? On en dénombre cinq qui sont bénéfiques pour tout le monde, et quel que soit l’âge : le cyclisme diminue le taux de cholestérol, tout en réduisant les risques d’une crise cardiaque et d’une thrombose. La course à pied agit favorablement sur la diminution des maladies cardiovasculaires. Quant à la marche, en plus des effets sur le coeur, elle améliore la circulation sanguine. Les jeux de raquette sont indiqués pour le cœur et la tension artérielle. Enfin, la natation est l’activité la plus complète, puisqu’en plus du bienfait énergétique, elle réduit le taux de graisse dans le sang. Chacun·e doit pratiquer l’activité physique de son choix, selon son propre rythme. Pour le connaître, il est recommandé de débuter doucement, puis de monter la cadence, la fréquence ou la durée au fur et à mesure de la réaction de son organisme. Il ne faut surtout pas en faire trop, car cela se traduirait par des effets néfastes, du type blessure, difficulté à trouver le sommeil, fatigue. Tout l’inverse des bienfaits d’un exercice physique pratiqué régulièrement avec modération ! Enfin, l’ultime bienfait du sport, et non des moindres, est qu’il permet de renforcer l’inclusion, en tissant des liens entre différentes appar- tenances sociales. La réunion, voire l’union de personnes d’horizons divers autour de valeurs de vie qui leur sont communes permet de transcender toutes les barrières fictives érigées. Le sport sert d’ailleurs à ce titre de thérapie dans le processus de réinsertion d’individus en marge de la société. Quoi de mieux pour agir sur la préservation de la santé ? Carnet Inclusion 2021 - F.S.G.L. 45