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inviteuses debraillees passant la tete a travers la ant et de 1'obligation de se livrer a une absorption i8 5 porte entrouvrete, et la clientele tapageuse qu'elles de liquides qui ferait reculer Bee-Sale, Bibi-la- Notes recoivent" (ibid., 197). Grillade et Mes-Bottes" ("Brasseries a Femmes," to Pages 47. "II suffira d'un reglement de police pour in- Ulntransigeant^ Nov. 27 [ca. 1881], APP, D/B, 140—42 terdire a certains patrons de cafes de transformer 173—75). See also "Les brasseries," Dix-neuvieme leurs etablissements en veritable rnaison de pros- siecle, Nov. 23 (ca. 1881), APP, D/B, 173-75; and titution, en y remplacant les gargons de service Reuss, La Prostitution, p. 195. par des hetai'res de vingtieme categoric, pour les- 52. Mace (La Police, p. 127) stresses 1867 as quelles 1'interieur d'un cabaret est un trottoir com- the date of origin, whereas Reuss (La Prostitution, mode et sur, peu fatigant et a 1'abri de ces agents p. 194) claims that the vogue did not begin until de la police des moeurs qui parfois sont vraiment the mid-18705. bien indiscrets" (Charles Flor, "Les Servantes de 53. By 1900 the number had fallen off to 115 Brasserie," Le National, Nov. 24, 1881, APP, D/B, served by 600 women (Mace, La Police, pp. 127- !73-75)- 29; and Regnault, L'Evolution, p. 116). 48. "Quiconque a penetre dans un de ces 54. Corbin, La Filles de noce, pp. 176, 216. etablissements mixtes, n'a pu s'empecher de 55. "Ce ne sont pas generalement les filles qui plaindre ces filles depoitraillees, a la voix rauque, arrivent de la province qui fournissent le person- aux cheveux epars, au teint trop rouge ou trop nel principal de ces maisons; le plus souvent les bleme, au geste canaille; ces miserables meurent femmes entrent dans ces etablissements apres generalement a la peine; elles font un metier au- avoir deja fait leur education dans d'autres mi- quel les plus robustes ne resistent pas longtemps" lieux; elles ont des connaissances tres completes et (ibid.). elles savent pertinemment que certaines brasseries 49. One anonymous journalist's view was this, ne sont que des maisons de prostitution clandes- for example: "Ces dames sont accusees de pousser tine, aussi ne sont-elles pas effarouchees lorsqu'on les petits jeunes gens a la consommation et de les leur fait comprendre que le service principal ne entrainer dans les depenses exagerees"—These consistera pas a servir des bocks ou a allumer une women are accused of inducing young people to cigarette!" (Commenge, La Prostitution, p. 339). drink and of enticing them to spend excessively 56. Mace, La Police, p. 142. (UOrdre, Nov. 21, 1881, APP, D/B, 173-75). And 57. How and if this tallies with the transforma- there was plenty of joking in the press at the ex- tion of brothels into brasseries is not clear. pense of the indignant peres defamille whose 58. Between fifty centimes and one franc, complaints allegedly inspired the police project. A according to Corbin, Les Filles de noce, p. 251; writer for Llntransigeant said, for example: "Les between one and three francs, according to Reg- peres de famille qui s'imaginent qu'une fois fer- nault, Prostitution, p. 116. mees les brasseries a femmes, leurs fils vivront 59. Corbin, Les Filles de noce, p. 251. Most dans une absolue continence, preoccupes unique- sources agree that the brasserie rarely had rooms ment de therapeutique ou du droit remain, nous on the premises for this activity. The waitresses font I'effet de nourrir des illusions singulieres!" — generally used rooms in adjoining hotels. See Fathers who imagine that once the brasseries a Martineau, La Prostitution clandestine, p. 79; and femmes are closed, their sons will live in a state of Regnault, Prostitution, p. 116. absolute continence, preoccupied only by thera- 60. Mace, La Police, p. 141. peutics or Roman law, impress us as nourishing 61. See Mace, La Police, pp. 128 — 29, for loca- strange illusions (Gramont, "Les Brasseries a tion in the city by arrondissement Femmes," Ulntransigeant, May 16, 1882, APP, D/B, 62. "Sur la ligne des boulevards de la Bastille a 173-75)- la Madeleine, on compte une centaine de cafes- 50. Susanna Barrows, "After the Commune: brasseries dont la moitie sert de refuges aux raco- Alcoholism, Temperance, and Literature in the leuses. Les dispositions locatives de ces etablisse- Early Third Republic," in Consciousness and Class ments ne permettent pas toujours aux filles de s'y Experience in Nineteenth-Century Europe, John M. prostituer, neanmoins plusieurs d'entre eux pos- Merriman (ed.), New York, 1979, pp. 205-18. sedent des sous-sols et des chambres meubles"; 51. "Les filles se laisserent d'un metier extenu- "Le matin et dans 1'apres-midi, on y rencontre des

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